Le bonheur en entreprise ? Et si c’était maintenant ? Et si ça dépendait surtout de moi ?
En tant que leader, que puis-je faire, là, tout de suite, pour améliorer le bien-être de mes collaborateurs, ces femmes et ces hommes qui contribuent chaque jour à l’efficience de notre entreprise ?
Cette question est centrale. Cette question est simple.
Le bonheur, s’ils le veulent…
Dans les réponses que nous pouvons apporter à cette problématique « humaniste », l’expérience m’a enseigné à me garder d’un écueil majeur : on n’impose pas le bonheur à ses collaborateurs, on le leur propose.
Pour nous, les dirigeants, cela signifie accepter de ne pas arriver à embarquer tout le monde dans cette démarche collective ; accepter les limites à notre bonne volonté.
Travailler sur l’émergence du bonheur et sur le consentement
Ma mission, auprès des structures privées et des associations, consiste à créer les conditions favorables pour que les collaborateurs expriment des propositions dans ce domaine, des aspirations dépassant le cadre classique des revendications salariales ou de moyens.
Mon objectif, c’est de faire germer l’idée du bonheur, amener les salariés à y consentir, puis le faire émerger concrètement, au quotidien.
Réussir cette « bouture » de bonheur dans une organisation passe la plupart du temps par un travail sur le sens, la vision et les valeurs, ainsi qu’instaurer une plus grande authenticité dans la relation managériale. ■